Au coeur du souvenir

Etudiante Messages : 66 Date d'inscription : 31/05/2008 Age : 33

Chapitre I

" Un départ forcé "

Osaka, une ville populaire du Japon. Une ville comme toutes les autres du monde, là ou la violence règne ainsi que les nombreux défauts de la société. Les viols s'accumulent, ainsi que les vols et toutes sortes d'agression, mais qui sont étouffées par la presse et le gouvernement. Combien de filles sont-elles violées chaques semaines dans cette ville ? En moyenne, 35 soit 5 par jour, sans compter les nombreuses agressions et autres.

Mais, malgré toute cette violence qui règne, il y a les quartiers bien fréquentés. Là, ou toutes agressions et perturbations ne vienent pas déranger les oreilles ne nos petits bourges Japonais. Dans ce quartier justement, vivait la famille Tsukiyo. Une famille bien réputée pour leurs nombreuses entreprises dans le commerce dispercées dans le monde entier.
Notre histoire commence un vendredi soir, dans les alentours de 21 heures30. La famille Tsukiyo était au complet, il y avait Ryu Kyô le père assit sur une chaise de la cuisine en train de lire le journal. La mère, Atsumi Tsukiyo était en train de finir la vaiselle. Quant aux deux autres enfants, Yuki Tsukiyo la soeur et Akira Tsukiyo le frère, ils étaient tout les deux dans leur chambre à réviser leur futur examen. 21 heures 45, Ryu regarda l'horloge de la cuisine et prit alors la parole :

" Mais qu'est-ce qu'elle fait ?!! Elle a presque 5 heures de retard ! "

Atsumi continua son activité, et répondit tranquillement :

" Elle est sûrement à son cour d'art martiaux ... Elle ne devait pas réviser pour sa future épreuve ? "

" Ha ! Toujours ce fichu sport ! Comme si c'était l'avenir de notre pays ! Le sport n'est rien du tout ! C'est la science ! qui l'est. Tant que Yuko ne comprendra pas ça, je ne pourrais rien pour elle ! "

La mère s'essuya les mains et se retourna vers son époux, répondant :

" Tu exagères ! Yuko est très douée pour le sport, tu devrais accepter qu'elle ne souhaite pas faire des études comme son frère et sa soeur et faire ce qu'elle aime ! "

" ça ! Jamais ! "

Finissa Kyô en replongeant son nez dans son journal. Soudain, le bruit d'une clée qu'on enfonce dans une serrure retentit. Mitsuki tourna la tête vers la porte d'entré et aperçut une jeune fille vêtus d'un jogging moulant ainsi qu'un débardeur avec un sac de sport sur le dos. Ses longs cheveux châtains partaient dans tous les sens et ses yeux rouges bordeaux semblaient fatiguer. Le père, voyant sa fille Yuko rentrait à une heure tardive du soir se leva et s'avança vers elle :

" Haaa ma fille ! Est-ce une heure pour rentrer à la maison ? Nous avons finit de dîner depuis 2 heures au moins ! Ou étais-tu ? Avec ta petite bande de copain bascketteur ? "

La jeune fille ne voulus pas répondre et lui lança un regard noir. Sans attendre d'avantage, Kyô lui colla une giffle qui résonna dans toute la pièce. Mitsuki mena ses mains à sa bouche et cria :

" Kyô !!! Tu en fais trop !!! "

Yuko avait la tête sur le côté, mais ne pleurer pas. Elle avait l'habitude de se recevoir des baffes le soir par son père. La jeune fille redressa la tête et ne changea pas son regard vers son père. Entrebaillant la bouche, la lycéenne murmura :

" Je te déteste ... "

Kyo la dévisagea et gueula :

" Tant mieux !!! C'est réciproque !!! Va t'en !! hors de ma vue !!! Tu ne dineras pas ce soir !! "

Mitsuki avança mais Yuko la stoppa en levant sa main. Un dernier regard de haine vers son père et la voila partir en direction de sa chambre. Akira, qui avait entendu son père gueuler, passa sa tête des escaliers et dit :

" Ho ! On peut pas étudier tranquillement ? "

Yuko passa à côté de lui, ne répondant rien. Son frère la fixa de ses moindres mouvements et ajouta :

" C'est de ta faute ça !! Tu arrives toujours à énerver papa !! "

L'adolescente s'enferma dans sa chambre et jetta son sac à terre. Puis, elle s'assit sur son lit et resta là, un moment pensive. Quelques instants plus tars, elle se releva et enleva ses affaires de son sac pour en m'être des nouvelles. Refermant son sac, elle ouvrit la fenêtre et regarda une dernière fois sa chambre, avant de s'élancer par devant pour atterir sur la toiture. Là, elle descendit par petits pas avant de sauter à terre, pour enfin s'élancer dans la nuit tombée et partir loin de cette familles.

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