Ise Nitta: Ange ou démon?

Nom : Je suis une Nitta

Prénom : Je me prénomme Ise.

Age: Je suis née le 19 avril 1990... Je suis donc âgée seize ans.

Sexe: Euh... Regardez moi... Je suis... Une fille! Bravo! Tu veux une médaille?

Description physique: Ma peau de la même couleur que celle de tous les asiatiques. Mes yeux d’un marron clair rappellent à la mémoire de ma famille les troncs des gros cerisiers en fleur dans notre ancienne demeure sur le bord de l’eau au Japon. Mes mêmes yeux sombres sont bridés très légèrement et c’est ce qui selon mon ex-petite amie ce qui me donne tout mon charme. Mes sourcils sont miniatures. Noirs et proportionnés, ils donnent à mon visage une expressivité exubérante. Mon nez est petit et rondelet. Mes joues légèrement rosées de manière naturelle ne sont jamais maquillées. Mes lèvres légèrement rougeoyantes laissent découvrir, quand je souris, des dents blanches. D’une corpulence maigre, malgré ma grossesse de 2 mois et demi, j’ai tout réussit à faire disparaitre. Habillée toujours chic, personne ne peux se douter que je suis enceinte de plusieurs semaines. Je suis relativement petite et relativement bien proportionnée. Je n’ai peut-être pas la poitrine de ces femmes hollywoodiennes… Je ne me plait pas trop bien, mais je plaisais bien à mon ex-copine et c’est tout ce qui m’importait. Mes cheveux sont ébène et je les porte long et plat… Mais qui sait à quoi ils ressembleront dans quelques semaines? Car j’ai la manie de les teindre souvent et de les couper, surtout lors d'une crise. Mes vêtements excentriques griffés importé du Japon sont naturellement un trait qui me distingue de toutes les adolescentes du type bon chic, bon genre. Il n’est pas rare de me voir avec un kimono de soie ou dans une robe flottante à volant. J’ai aussi un style relativement punk. Mes cheveux sont plutôt original et le fait que je change d’apparence et de style de coupe trois fois par mois est plutôt marginal. Il est aussi intéressant de mentionner mes ongles très longs et souvent teint en noir. Je ne suis jamais habiller en vêtement moulant car j'ai honte de mon corps.

Description mental:De tous les psychologues que j’ai fréquenté, tous ont trouvée que j’ai une capacité d’adaptation extraordinaire à mon environnement. Chez les japonais, on dit que chaque personne est composée des quatre éléments. Dans mon cas, l’eau est dominante et la terre, le feu et l’air en sont presque exempts. Tout comme l’eau, je suis douce et calme quand en vient le temps. Femme décidée, rien ne m’arrête… Je veux obtenir un truc et je chercherai tous les chemins possibles pour atteindre mon but.Depuis toute jeune, je me fais discrète voir même invisible aux yeux des autres… J’adore que l’on me remarque, par contre je déteste dire à voix haute ce que je pense tout bas. Je suis soumise à l’excès, à un tel point que je préfère ne plus me fier à mon instinct. Je suis sans contre dit une fille excentrique et passionnée. La majorité des psychologues m’ont dit que j’étais : « Déterminée au point d’en ignorer le danger. » Décidée mais non têtue, j’accumule ma colère et j’explose d’un coup. On me décrit comme une excessive. Je suis aussi une infidèle à vie… Mais que se cache-t-il sous ce mur d’apparence que je me donne? Ces apparences peuvent-elles être trompeuses? Elle est incapable d'être calme, l'adolescente cacher ses apparence... Comédienne dans l'âme, elle est expressive. Elle est extrêmement jalouse des autres et infidèle. Ise est aussi une vraie valise. Tu lui dit un truc et elle te crois... Ise Nitta est une passionnée elle n'aime jamais peu quelque chose. Avec elle c'est la passion ou rien. (souffre de maniaco-dépression)

Aime : Ise adore sa belle copine... Elle l'adore comme elle n'a jamais rien aimer, et elle s'en veut beaucoup de lui avoir été infidelle. Elle adore aussi tout ce qui a un lien entre le Japon et les États-Unis d'Amérique, elle est prise entre deux Culture... Entre Rihanna et Ayumi Hamasaki. Coté vestimentaire, Ise est excentrique. Tout ce qui sort de l'ordinaire. De près ou de loin lui plait. Pour elle, l'important c'est d'être ce qu'elle est.

N'aime pas:Ise ne sent pas la violence, elle y est allergique. C'est quelque chose qui lui fait peur... Elle a toujours détester que quelqu'un lui fasse mal ou blesse ses proches. Elle ne tolère pas les menaces et l'intimidation. Elle est incapable de sentir tout ce qui est drogue. Elle a toujours été élever dans le luxe... elle ne sent pas la pauvreté et elle a peur de tout ce que l'on lui raconte.

Profession : Je suis une simple étudiante...

Histoires du perso :

Je suis née au Japon. Je suis née dans un village en bordure d’une mer trop belle et propre pour être réelle. Un village de pêcheur unique en son genre. Il y avait derrière chez moi, une immense plage de gros galet qui donnait sur une mer irrésistible. J'y avais construit une cabane dans la quelle je dormais souvent. À quelques pas de chez moi, il y avait le centre du village. Un vieux port. Une centaine de bateau aux couleurs rougeoyantes occupaient toujours une place de choix sur le ciel bleu et la mer bleuit par la température ambiante. Encore plus loin, il y avait le marché du village. Un petit marché qui a été ma vie. J'y passait mes journées avec mes amies, les filles des amies de ma mère en grande majorité. Les boutiques étaient diverses et les gens y étaient toujours chaleureux. Il y avait des enfants qui couraient en tout sens. C'était le genre de tableau parfait. C’est dans un décor champêtre que ma mère mis au monde sa seule héritière, moi. Les cerisiers étaient en fleur, le ciel était dégagé et je saluait d'un grand cri le monde et ses milles et une aventures qu'il allait m'offrir. Mon père était le président d’une compagnie d’informatique et ma mère était un ingénieur civil.

Je fis mes premiers pas sur la plage derrière chez moi toujours entourée de ma famille. J'ai reçu une éducation hors du commun, voir même unique pour la jeune japonaise que j’étais. Pour mes parents, l'éducation de la femme était très importante. Dès mon plus jeune age, je suivis à en perdre la tête des cours de mathématique, de calligraphie, d’histoire du Japon, de Japonais. Là d’où je viens, il faut toujours être dans les meilleurs si on veut avoir du pouvoir. On prend la crème de la crème uniquement. Il est si important de réussir dans la vie que le taux de suicide est si élevé chez les lycéens qui reçoivent leur résultats d’acceptation des université que les soins de santé d’urgence sont en état d’alerte quand ces fameux résultant rentrent dans leur maison laissant derrière eux des morts par suicide. Je me pliais à tous les ordres. Sans objection. J'étais mannequin et je n'avais que trois ans. Je ne cesserais pas de l'être avant mes dix-sept ans. J’étais sage. J’étais gentille. J'attendais seulement ma chance de briller dans mon monde à moi.


J’entre à l’école. Le primaire. J’en sais déjà beaucoup plus que ce que je ne veux le montrer. Je suis l’enfant que mes parents m’ont dit d’être. Je fais ce que l’on me dit. J'essaye toujours de repousser mes limites. Je remets toujours mes travaux à l’heure. Je n’oublis jamais de faire quelque chose. Je suis un enfant qui est très motivée par l'école et très animée par tout ce qui la touche. Je fais de la danse, de la musique, du théâtre et du dessin. Je finis mes devoirs tôt en rentrant de l'école. Je joue des heures durant avec mes ami dehors, jusqu'à ce que ma mère vienne me chercher pour le souper sur le marché. J’atteins une stabilité et une place importante dans mon école. Mais avec le temps, j’ai appris qu’à chaque fois que tu es en position de force. Quelque chose doit chambouler ta vie et t’obliger à tout recommencer. Quand j'ai sept ans, la compagnie de mon père fait faillite. Tout est saisi. Du jour au lendemain, nous n’avons plus rien. Plus d’importance. Plus de grand projet. Plus de grand rêve.


J’avais 7 ans et seulement mes parents. J'avais l'âge ou toutes les japonaises de mon coin rêvent de devenir une pop-star. Moi, je voulais seulement avoir un toit pour vivre et que tout redevienne comme avant. Du jour au lendemain, la petite fille de la campagne se trouvait catapulter à la grande ville de Tokyo. Je réalisais que le mode de vie que je connaissais depuis ma tendre enfance était à l'opposé de celui de la vraie vie japonaise. J’avais 7 ans et tous mes illusions d’enfants venait de s'envoler devant la dureté de la vie et celle de la ville. Pendant un an, mon père poursuit ses études. Il devient ingénieur en informatique et entre dans une grande firme d’informatique mondialement reconnue. Ses nombreuses années d’expériences et son passé de président lui donne une grande fiabilité. Beaucoup de firmes tentèrent de l’apprivoiser mais aucun n’avait la force de l’allécher assez. Je compris bien vite que pour avancer dans la vie, il fallait trimer dur et aller toujours de l'avant.


Pendant plus d’un an, nous ne vécûmes jamais plus de deux mois dans le même appart et dans le même quartier. J’eus mes neuf printemps. Neuf printemps qui ont tout changé. Mon père rentra chez moi avec comme cadeau d’anniversaire des billets d’avion. Il avait été promut. Nous quitterions le Japon. Depuis que j’avais mes 5 ans, mes parents rêvaient de quitter le Japon à destination des Etats-Unis d’Amérique. Ils ne voulaient pas que comme ses quelques 24,1 pour 100 000 habitants qui se suicide chaque année au Japon. Je venais d’avoir mes 9 ans et j’allais à nouveau être toute déboussolée. J'avais une routine de fille de ville d'imposer. J'allais toujours au même parc à la même heure. Je me tenait toujours avec les même amies. Je mangeais toujours à la même table de la cafétéria de mon école avec toutes les filles qui était ma gang d'amie. Le samedi, je trainait avec mon ami garçon. J'avais mon petit train-train quotidien. Et j'allais devoir tout laisser cela derrière moi! Jamais... Pour tout l'or du monde, je n'abandonnerais mes amis. C'était tout simplement impensable pour la petite fille de neuf ans que j'étais. Mais pourtant, un jour chaud de juillet, je prend l'avion vers Los Angeles. Contre moi. Après avoir juré à mes amis de revenir.



Même si les temps étaient durs pour nous, j'avais la chance d'avoir des parents extraordinaire qui formait un couple aussi heureux d'improbable. Ma mère que l'on avait beaucoup de difficulté à cerner, c’était cette femme effacée qui ne parlait pas pour rien dire comme si les mots étaient une denrée périssable ou un alcool qu'il valait mieux consommé avec modération. Je lui ressemble beaucoup. Trop d’eau, comme moi. Ma mère est toujours cette femme qui pense beaucoup trop avant d’agir mais qui laisse aussi le temps suivre son cours. À mes yeux, ma mère sera toujours l’exemple de soumission face à son époux de la femme japonaise. Mais bien au-delà de ça, ma mère savait placer les limites de son corps et celle de son tempérament. Mon père, lui, était son opposée dans tout les sens. C’était cet homme bel et bien vivant qui hurlait toujours sa joie, sa peine et sa rage. Le feu, voila ce que représente mon père. Mon père est toujours cet homme impulsif qui agit et réfléchit après avoir fait les gaffes. Un homme qui avait toujours voulu monter dans le monde. Lui, il sera toujours cet exemple de la liberté de l’homme. Mais bien au-delà de tout ses considérations pratiques. Mon père aimait ma mère comme personne ne pouvait aimer. Et mes parents sont toujours ce couple fou qui résiste aux intempérie peu importe leur nature.



L’avion se pose à Los Angeles. Je ne me sens pas à ma place. Je colle la jupe de ma mère comme une boule de gomme à mâcher à la chaussure d'une personne dans une chaleur d'été indien. On parle dans une langue que je ne comprends pas. Langue que j’apprendrais à parler plus tard. Pour l'instant, je n’ai pas le temps. Je dois découvrir et explorer toute cette différence de culture entre ma nouvelle terre d’adoption et mon Japon natale. On me parle en Espagnol et en Anglais… Après une longue période de vacances commence la dure adaptation. J’avais tout juste 9 ans et je n'avais jamais rien parler d’autre que le Japonais. Je suis dans un coin riche de la Californie. Mais dans mon quartier, c'étaient les hispanophone dominaient. La première langue que j’apprends donc à parler est donc l’espagnol. Le travail est ardu. Mais après un an de travail acharné, moi et mes parents nous débrouillons assez bien pour réussir à se faire comprendre avec difficulté. Au bout de deux ans, plus le travail progresse, plus la langue est mienne. Je n’ai jamais oublié ma terre et ma langue. Mais je m’intègre bien et rapidement.

L'adolescence est une période bien difficile dans la vie de toute adolescente qui se mérite. Douze ans pour moi ont rimés avec grandes découvertes. J'avais des boutons plein la figure et des hormones pleins le corps. Je suis à fleur de peau quand je découvre que j'ai mes premières règles. À douze ans, dans le vestiaire après le cours de gym et que toutes les filles parlent de garçons, je les observe. Elles sont si belles. Et les garçons à côté sont loin d'être aussi beau. Une femme est délicate et très mignonne. Un homme est l'inverse. C'est alors que je réalise ce que j'aurais préféré ne pas savoir. Je suis homosexuelle. Il ne viendra que plus loin le fait que je suis bisexuelle. Pour moi, c'est un univers bâti avec difficulté autour de mes secrets et mes mystères qui vient de s'écrouler. Je sais que mes parents ne tolèreront jamais l'idée d'avoir une fille qui aime les femme. J'ai alors décider de vivre ça en silence. D'ailleurs, l'homosexualité et la bisexualité, chez moi, sont encore taboues. Une seule chose est sur. Pendant cette période, je me referme sur moi. Je me voyait mal arrivée devant mes parents qui me demandait ce que j'avais fait de ma journée et me leur dire: "Je suis allez au cinéma avec une telle après avoir fait les boutique avec un tel. Ah! Et en passant... j'ai découvert que j'aimais les femmes!". Bien que j'aurais aimer voir la figure de mes parents dans un tel cas. J'avais peur de leur dire alors je me suis tu. C'est à l'école que la solution se trouvera. Elle sera une enseignante pas comme les autres. Une stagiaire de 5 ans mon aînée. Homosexuelle avouée, elle sera ma première copine en dépit du fait que l’on ne peux se fréquenter. On se quittera après 3 semaines. Ce sera une période dure qui commencera après notre rupture. J'allais fêter mes treize ans quelques jours plus tard. Mais je l'aimais.

En l’espace de quelques jours, l’adolescente bien rangée que j’étais à mes douze ans devient une fêtarde débridée. Je veux marquer une marge entre le moi avant elle et le moi après elle. Je suis toujours la. Je ne manque jamais de fêtes. Je suis trop fière. Je sais que je suis la plus belle à l’age de treize ans, j’ai le physique de ses mannequins que l’on voit dans les magazines. Pendant cette période, je n’ai jamais touché à l’alcool et à la drogue. Mais je ne me suis pas gênée pour toucher aux hommes et aux femmes qui m’entouraient. Et je n’hésitais pas. J’ai besoin de cet amour que mes parents me refusent trop préoccuper par leur gros nombril. Ils vivaient sur leur nuage, je ne me sentais pas à ma place nulle part dans la maison. J’étais dérangeante. Maquillée comme une émo, portant de la haute couture. Une seule chose faisait que mes parents ne m’ont pas jeter dehors durant cette période. Mes notes étaient toujours aussi sinon plus forte qu’avant. Surtout en Art. Tous les soirs, je joue des heures au piano et je danse. Dans mes cours, je noircit des pages et des pages de cahier pendant que les autres écoutent ce que nous radotent les enseignants. Et pendant ce temps, je m’éloigne de mes parents. Nous sommes des continents à la dérive.

Ma vie ne tournait pas très rond. Le climat familial entre mes parents et moi était du genre tendu. Je me tenais avec une bande de voyous noir qui ne faisait pas plaisir à mes parents. Mon estime de moi était faible. Et moi père ne cessait de me dire que j’étais "G-R-O-S-S-E" avec mes 110 livres de muscles dû à la danse. Persuadée que je suis immense, je me met à manger de moins en moi me contentant parfois de trois ou quatre raisins par jour. Mes parents m’encouragent dans ma psychose anorexique en m’achetant des laxatifs. J’ai treize ans et demi, je pèse 60 livres. Il arrive donc l’inévitable. L’hospitalisation en psychiatrie pour une anorexie et une boulimie qui m’ont mené au seuil de la mort. Même dans mon lit d'hôpital, je continue à refuser toute nourriture et à vomir le peu que j'ingurgite. On me nourrit donc par intraveineuse et je fréquente une ribambelle de psychologue et de psychanalyste pourris qui me catégorise. Selon eux, je suis anorexique, boulimique et dépressive. Je reste dans ce que j'appelle l'asile six mois. Mais pendant ce temps, je me cloître dans un silence et je ne parle presque plus. J'ai treize ans et je fais la muette. Rien ne me fait sourire. Je peux passé des heures immobiles à ne rien faire.

Puis, de l’asile à aujourd’hui, il y a une période ou je me remets. Je suis sous anti-dépresseur depuis mes treize ans. Durant cette période de rémission qui dura trois ans, je vivrais en silence plus de 40 relation dites sérieuse et tant de one-nigth que je ne les compterai plus en fin de compte. Mes parents font comme si je m’existais tout simplement. Je suis mannequin. Jusqu’à mes quinze ans, je vis seule sauf à la sortie de mes crises ou je me réfugie dans mes racines et dans les partys ou l'alcool coule à flot. J'habite avec mes parents dans un quartier réputé des États-Unis. Je suis considérée comme une fille marginale et facile. Quand j'ai 15 ans, mes parents décident de déménager. J'atterris à Beverly-Hill. Je suis au ciel. J’ai tout ce que je veux avec facilité.

Je viens tout juste d’avoir mes seize ans quand je la rencontre. Elle a dix neuf ans. C’est la femme de ma vie. Je le sais au premier regard à la première rencontre. Elle est la seule dans sa catégorie. Elle est à mon école et dans ma classe de musique. Je suis incapable de la regarder sans rougir. Elle a des yeux de terre mouillée et elle sent l’automne et les feuilles. Latino d’origine, sa mère c’est quelle est bisexuelle. Son père n’était même pas dans le portrait. Elle était mon opposée total. Extravertie, populaire, sociale, colérique. On m’avait souvent dit que c’était les contraires qui s’attiraient. Elle était une peau foncée. Et elle m’attirait terriblement. Ca nous à pris près d’un an nous l’avouer. Et nous n’étions plus séparables. Elle se fouttait des rumeurs.

Nous sommes sortie ensemble pendant plus de 10 mois. Mais cette liaison est la chose la plus top secrète du monde entier. Je ne lui ai jamais été vraiment fidèle. Je me foutais un peu de la vie, j’avais besoin de caresse, celle que je n'ai jamais avec mes parents. La relation avec mes parents était de plus en plus tendue. Je déprime encore beaucoup. Mais je m'occupe de mon poids... je ne suis plus trop mince. Je ne suis plus anorexique, je me charge trop de ma carrière de mannequin. J'étais souvent saoule morte. À ses yeux, la fidélité c'est une chose sacrée. Mais cette soirée là, j'avais besoin de la chaleur d'un corps contre le mien. Ca me fait mal de le dire: Je l'ai tromper faute d'avoir son corps contre le mien. Le temps d’un autre soir… Je me suis dit une dernière fois…

Et un jour, le diagnostique est tombé. Enceinte à seize ans. Et j’ai paniqué. Je lui aie hurlé que je l’avais trompé. Que j’étais enceinte et en mille miettes. Et elle m’a laissé tomber. Je me suis faitaccepter dans une école au Japon et j’ai fuis. En musique et en danse, je noyais ma peine de vie. Mon père m’enverra 1000$ US par semaine pour que je survive. C’est mon argent pour ma médication. Je suis enceinte de deux mois et demi. Et je vais trouver ce que je vais faire de ma vie.