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 Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]

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Ise Nitta

Ise Nitta


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MessageSujet: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyDim 21 Juin - 20:41

{ Identité }

- Nom :
Nitta

- Prénom :
Ise

- Surnoms :
Alexander l'appellait "Ma Chiquita" et " Ma bella"

- Nationalité :
Cent pourcent japonnaise

- Âge :
Elle est née le 15 mars 1991 et est donc récemment âgée de dix-huit ans.

- Sexualité :
Elle se considère comme bisexuelle. Mais à cause de sa maladie elle ne fait pas de différences entre homme et femme. Sauf qu'elle vient de vivre sa plus belle et longue histoire d'amour avec un homme.

{ Apparence }

Physique :
Comment décrire l’énigmatique, la secrète Ise Nitta? Commençons par ce qu’elle pense de son corps. Fille aux nombreux complexes, elle a toujours eut de la misère à accepter sa ressemblance frappante avec sa mère, avec qui elle est en guerre depuis le déménagement aux États-Unis alors qu’elle était âgée de huit ans. Dix ans plus tard, la fillette a vieilli et est devenue une femme. Le plus grand complexe de la jeune demoiselle vient probablement de sa taille. Elle mesure environ un mètre cinquante cinq, ce qui la place dans la catégorie des tailles "typiques" chez les japonaises. Son poids aussi ne devrait pas être un complexe. Pourtant, bien qu'elle soit sur la limite de son poids santé, elle se trouve toujours trop ronde, pas assez formée. Bref, sa manie de se soucier de son poids pourrait facilement être considéré comme une anorexie qui va de légère à prononcé.

De plus, la jeune femme a un visage ravissant. Son visage, constitué d'un ovale parfait, est encadré d'une grande tignasse sombre dont les couleurs miroitante, entre le noir et le brun très foncé, ont trouvé le moyen de captiver voir même d'impressionner certains hommes. Ses cheveux, sans être crépu, frisent légèrement. Mais voulant à tout prix répondre au standard, la jeune demoiselle les applatit et les soignent avec une passion peu commune. Il faut faire honneur à sa mère qui n'a jamais cesser de lui répéter qu'une apparence bien soignée commence par des cheveux sains.

La peau d'Ise, déjà passablement foncé par ses origines, a été longtemps bronzé sur les plages de la Californie où elle passait une bonne partie de son temps. Pour ses seize ans, sa mère lui a payé une opération esthétique de son choix et Ise qui connaissait l'acné, a choisi de se faire ammincir la peau, ce qui lui donne maintenant une peau impeccable.

Il y a ses yeux. De vraies petites perles sombres au beau milieu d’une peau couleur tendre. Ses yeux là sont bruns quasiment noirs. Deux billes d’encre de chine. Elle a toujours dit que c’était parce qu’il y avait beaucoup trop de feu en elle. Elle bouille de l’intérieur. Pourtant, elle a toujours un regard calme qui tend légèrement vers le triste, surtout ces temps-ci. Pourtant, lorsque ces yeux sont rieurs, elle est si belle. Deux petits plis se forment sur le coin de ses yeux légèrement bridés. Et son beau sourire en est mis en évidence.

Ise n’a pas de grandes lèvres. Elle a de petites lèvres fines qui lui donnent une belle bouche en cœur. Lorsqu’elle sourit, elle dévoile de ravissantes petites dents parfaitement alignées. La jeune femme n’a pas eu à porter de broches. Son nez aussi est très harmonieux. Un nez fin qui se décrit comme une légère bosse dont les traits sont assorti au restant de son corps. C'est-à-dire qu’elle a les traits du visage fin comme de beaux petits dessins manga. Elle aime beaucoup ce coin dessin de son apparence.

- Tenue vestimentaire :
La garde-robe d’Ise est monstrueuse étant donné que ses parents lui donnent tout ce qu’elle désire sur le plan matériel. Elle a donc une armoire, six tiroirs et une penderie pleine dans la maison de ses parents. Chacun est réservé à une des parties de la jeune femme. Il y a donc du linge pour Ise la provocante, Ise la peintre, Ise dans son état normal et Ise la déprimée.

Ise a toujours eut un petit côté provocante. Minijupes, talons hauts, escarpins, chandail ne cachant pas le nombril ou n’ayant pas de manche, décolleté plongeant, collant en résilles ont fait longtemps partie de la garde-robe de l’adolescente qu’a été Ise alors qu’elle était dans des « hauts ». C’est le genre de vêtements qu’elle portait lorsqu’elle faisait des fugues. Tout pour se faire remarquer et attirer l’attention sur elle-même et avoir l’air de la plus belle. Ces habits découvrent trop souvent son nombril percé et son tatou dans le dos le symbole japonais signifiant chance en noir avec une grande rose rouge.

Elle a su se constituer des vêtements pour peindre et pour créer. Quand lui viennent les idées et qu’elle mélange les couleurs, elle tient à ses vieux pantalons et à ses chemises de garçons, souvent piqué à des amants et à des hommes que sa mère ramènent à la maison qu’elle enfile pour peindre en se servant parfois de ses vêtements comme de palette. Normalement, elle fait tout ce qui est dans son possible pour que personne ne la voie dans cet état. Il faut vraiment se forcer pour la voir dans cet état.

Normalement, Ise porte des jupes et des robes qui ne dévoilent pas et ne cachent pas pour autant. Suggestive mais sans l’être trop. Quelques pantalons. Tout est normalement dans de la haute couture et des vêtements assez bien réputés. Par contre, elle se soumettra sans trop de problème au port d’un uniforme si elle en voit vraiment l’utiliser. Bien qu’elle tentera de mette en péril les règlements. Si elle retouchait l’uniforme pour retirer quelques centimètres dans le bas de la jupe? Et si par la suite elle retoucherait un peu la chemise pour mettre en valeur sa poitrine trop peu fournie à son goût. Par contre, est-ce la maturité ou une chose bien encore pire ?

Ise commence à ressortir ses vieux polars de ses phases de dépression. Ainsi, elle commence à assumer des grands chandails dans lesquels elle flotte, de vieux jeans usés jusqu’à la corde qu’elle met normalement pour peindre, des leggings et recommence à dissimuler son corps aux autres. Elle a rajouter un polar dont elle ne se sépare que très rarement. Un vieux chandail noir à la coupe masculine portant l’inscription « Alexander Ford #11 » dans le dos.

Niveau bijoux, Ise porte des boucles d’oreille. Elle a les oreilles percés à deux endroits mais n’a jamais eut le courage de porter le coup fatale pour faire perser le trou dans le cartilage. Son nombril est percé et la boucle est toujours assortie au vêtement de la jeune femme. Elle ne se sépare jamais d’une petite bague rose qu’elle porte en tout temps, une bague de fiançailles.

{ Mentalité }

Caractère :
« Évaluation psychiatrique d’Ise Nitta en date du 20 mars 2009. »

Tous les progrès si durement fait au cours des trois dernières années de thérapie semblent avoir disparu dans la nature. Elle parle peu et a le regard vide. À travers sa peine visible on peut facilement comprendre que le décès de son fiancé, Alexander Ford, passe à ses yeux comme étant un rejet à ses yeux. Elle s’est donc formée une lourde carapace qu’il est quasi impossible à franchir. Il m’aura fallu plus de deux heures pour que je puisse réussir à la faire parler un peu.

Il est certain que, pour une jeune femme atteinte d’un trouble de la personnalité limite qui a si peu de relation stable, choisir entre faire survivre dans la douleur la personne qui a réussi à lui rendre une vie normale et la débrancher pour ne pas qu’elle souffre dans un coma profond est quelque chose de très dur. Psychologiquement, elle a donc reculé jusqu’à ses douze ans, age ou la thérapie avait commencé pour l’aider à gérer le trouble borderline.

Durant les trois heures de thérapie, elle est passée entre une quinzaine d’émotions différentes oscillant entre l’hystérie pur et simple et la tristesse extrême. Je n’irais pas jusqu’à dire que Mademoiselle Nitta représente pour cette raison un danger pour les autres. Ce qui me fait pourtant croire qu’elle pourrait représenter un danger pour elle-même est le retour de cette impulsivité qui était quasiment contrôlé par son amant. C’était à cause de lui qu’elle ne jouait plus avec son poids et qu’elle ne tentait plus de coucher avec tout le monde qui se trouvait en position d’autorité sur elle. Or, il semble qu’il me faille admettre que la disparition rapide de cet « inhibiteur » de symptôme marque une rechute marquante sur ce point puisque pendant toute la séance, elle a tenté d’entrer en contact physique avec moi-même. Elle n’en parait pas pour le moins désespéré.

Tout comme le jugement de juin 2004, date où elle fut prise en charge par l’hôpital, la sécurité sociale et par mon bureau, Lennon & Associate, elle semble en tentant de coucher avec l’autorité vouloir combler un vide quelconque, symptôme de l’absence de stabilité en quelque sorte dans sa vie. Le désir quasi-maladif d’avoir du contrôle sur son existence s’est revu par le début d’une anorexie chronique qui semble avoir refait surface pourrait à court ou long terme avoir des conséquences marquantes sur l’instabilité accentuée par une grossesse en bas age qu’elle semble contre toutes attentes déterminées à continuer.

C’est pour cette raison qu’il a fallu diminuer la quantité d’anti-dépresseur et de contrôleur d’angoisse prescrit de manière drastiques. Des effets négatifs à court terme pourrait être à prévoir puisqu’elle avait une confiance quasi-aveugle dans les médicaments. Je conseille donc à quiconque dans son entourage qui remarque une hausse de son absentéisme et de ses absences scolaires soient très tôt suivies par une nouvelle prescription d’une pilule à basse quantité d’hormones pouvant contrôler mieux que le placebo prescrit pour les sept prochains mois avant un retour à la médication habituelle.

Je ne crois toute fois pas et je tiens à le répéter que malgré sa névrose et sa peur chronique du changement que de la retenir et de l’empêcher de faire ce qui lui chante soit une brillante idée. À mes yeux, elle est très loin de représenter un danger pour les autres, simplement pour son enfant et elle-même. Le support des gens qui appartiennent à son univers lui semble très important. C’est pour cette raison que malgré tout, je considère logique de la laisser partir au Japon si tel est son désir à la simple et unique condition qu’elle soit sur les lieux suivi par un psychologue ou un pédopsychiatre ainsi qu’une diététicienne dans la mesure où elle ne puisse faire son deuil seule.
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyDim 21 Juin - 20:43

{ Mentalité : la suite}

- Qualités & Défauts :
Ise a longuement souffert des abus qu’elle a vécus dans son passé. Elle s’est forgée plusieurs personnalités qui l’aident à surmonter les épreuves qui l’entourent. La provocante, l’artiste, la jeune femme et la dépressive. Quatre personnalités, quatre antipodes.

Au naturelle, Ise a le cœur sur la main. Généreuse, elle est pratiquement prête à se sacrifier elle-même pour les gens qui l’entoure. Elle a un véritable problème avec ses propres limites. Elle s’adapte facilement à un environnement calme. Par contre, elle a de la misère à vivre dans un lieu où la violence est omniprésente. Il s’agit d’une jeune femme très romantique, mais très aventureuse qui veut se battre pour sortir la tête de l’eau. Elle est aussi extrêmement curieuse de nature et veut absolument tout apprendre par elle-même. Elle veut simplement être heureuse et avoir la fierté d’exister comme une grande fille. Par contre, dans cet état, elle ne réussit jamais à apprendre de ses erreurs. Le monde est réellement extrêmement vaste et le découvrir prend tout le temps. Elle a donc ce côté très naïf quasi enfantin. Dont elle ne contrôle absolument par la nature. C’est probablement un fait qui donne le charme le plus grand de la jeune damoiselle. Elle croit facilement à tout ce qui l’entoure.

La façade d’Ise qui fait souvent craquer les gens, c’est son grand côté artiste qui est très prononcé. Elle aime beaucoup peindre et dessiner. C’est la partie d’elle qui s’exprime. À travers l’art, elle voit le monde d’un côté positif. C’est une personne qui est très créative et très imaginative. Elle a le cœur dans la tête et c’est sa manière de faire sortir ses peurs et ces horreurs qui l’entourent autour d’elle. De manière quotidienne, elle tente d’évader la réalité des jours pluvieux en cherchant une manière magique d’avoir droit au bonheur. Ise l’artiste c’est une rêveuse compulsive. Une jeune femme qui rêve haut et fort que la vie est belle malgré les hauts et les bas qu’elle est obligée de subir. Ise l’artiste est Ise la rêveuse, Ise qui a l’espoir que le monde est bon et innocent. Personne à ses yeux ne peut la battre et lui faire mal quand elle est dans cet état. C’est le bonheur et une certaine euphorie qui occupe continuellement l’esprit d’Ise. C’est l’esprit Hyper de la jeune femme. Celui qui ne peut pas l’empêcher, de retomber de son nuage. C’est une partie qui en période d’anxiété, d’adaptation ou de stresse est quasiment impossible à voir. Mais elle est toujours très volage sous cet état, un peu comme un ange ou comme une princesse. Elle semble intouchable.

Ise a aussi deux personnalités que personne ne veut jamais voir. Deux personnalités sombres pour ne pas dire ravagés par une vie de souffrance. La plus présente en ce moment est le côté dépressif. Ise n’est pas une jeune femme suicidaire. Elle joue avec sa vie sans vouloir déterminer si elle est morte ou vivante. Ise dans cet état est incapable de bouger et d’exister. Elle est simplement dans un espèce d’état isolé. Personne ne peut l’atteindre dans cet état. Elle ne réagit que très peu. Le décès de son amant la plonge dans un état profond. Elle peut rester des heures immobiles sans bouger et parler. C’est l’état de la détresse, de la peur qui l’occupe. C’est un état ou elle semble fragile, sensible. Elle y dévoile son âme sans réellement le vouloir. Pure. Simple. L’état et l’odeur de l’absence. Celui du silence. Le silence qui tue. Qui obsède. Un état d’isolation, elle s’isole des autres et il est très difficile de la faire sortir de cet état. C’est le côté refermé d’Ise contre lequel elle lutte avec force sans toute fois réussir à l’exterminer complètement. C’est un état d’animal sauvage, celui où elle est en perpétuelle lute contre elle-même, contre ses pensées noires, cherchant au bout du tunnel, la lumière et la force de continuer de se battre. Elle parle peu dans cet état. Par mot clef plus souvent qu’autrement. Des mots qui semblent quasi délirant. Ces « phases » suivent les phases d’artiste ou de provocation. L’abandon lui crée aussi cet effet.

L’abus sexuel laisse une marque. Peut n’importe à qui il s’adresse. Par qui il est commis. En silence, Ise a subit, l’abus d’une mère aux pulsions homosexuelles sado-masochiste. Cela lui a fait formé un caractère de provocante. Elle a un problème avec l’autorité. La reconnaître lui est toujours très difficile. Elle a tendance à vouloir s’en approcher un peu trop. Flirter avec le mal en quelque sorte. Avoir une proie dans son lit est une sorte de victoire à ses yeux. C’est la raison de son petit côté infidèle et incapable de rester en relation de couple stable. Même avec Alexander, elle ne pouvait s’empêcher d’aller voir ailleurs. Tester ses propres limites mais aussi celles de l’amour de son fiancé envers elle. C’est une aventureuse. Un ange que la vie a écorcher. Ise la provocante, c’est l’ange déchu qui veut se donner des ailes et qui veut combler un vide qu’elle ne réussit pas à expliquer. Sauf que souvent, au moment de passer à l’acte avec quelqu’un elle se dégonfle par manque d’estime en soi. Elle n’est pas capable d’aimer. C’est quelque chose au-delà de ses forces. Elle a besoin d’être mise en confiance par la personne et a trop souvent tendance à s’isoler des autres quand on tente d’entrer dans ce genre d’intimité. La provocante, c’est celle qui veut prouver qu’elle est aussi belle et parfaite qu’une autre. Un ange dans les abîmes de la vie
.

- Ce qu'il aime/déteste :
Ise a les arts dans le sang. C’est sa passion. Sans limite sans frontière. Quand elle crée quelque chose, elle a impression de se sentir libre. C’est la poussé d’adrénaline qu’elle a quand elle a enfin terminer de composer une chanson, un poème ou qu’elle a terminer un dessin ou un vêtement. Sa fierté est horriblement immense. C’est après cette sensation de liberté et de tendresse qu’elle adore. Ça la libère énormément. Elle se sent toujours libérer voir mieux quand elle est arrivée à terme d’un projet qu’elle a commencé quelque soit la nature du projet, elle cherche l’adrénaline chose qui lui manque. Dans ses jours heureux, on la trouve dans un atelier attelée devant un nouveau projet déterminer à réussir.

Ise adore aussi la mode. C’est une de ses plus grandes passions dans la vie. Elle n’a aucun style particulier et elle passe d’humeur en humeur. De style en style. Mais elle veut absolument réussir à atteindre ce qui est le plus à la mode et le mieux. Juste pour plaire aux gens. Elle aime attirer le regard quand elle est sur un high et que rien ni personne ne peux réussir à l’atteindre et à la déprimer. Pour elle, rien n’est plus important que les gens puissent la regarder mais ne pas la toucher pour autant.

En effet, ce n’est pas parce que la jeune femme aime se faire regarder qu’elle aime se faire toucher. En effet pour elle la sexualité est un tabou et une des grandes plaies dans le cœur de la jeune femme. Il lui en faut beaucoup pour se sentir prête à ouvrir les jambes, bien qu’elle a tendance à coucher rapidement avec quiconque. Elle fait ça pour tester les limites et non pas pour coucher pour le trip de coucher avec quelqu’un. En fait, normalement, ouvrir les jambes la plonge souvent dans un état plutôt pathétique de baise d’estime de soi et d’une douleur extrême ou personne ne peut l’empêcher de souffrir.

Ise aime les enfants. Elle les adore. Pas au sens ou sa mère l’aimait. Ise en voulait quatre avec Alexander pour ne jamais être seul. Quatre bébés à elle seuls qui dépendrait d’elle. Elle a passé sa vie à dépendre des autres pour se sentir vivante et elle aimerait renverser les autres si elle en trouve la force. C’est la raison pour laquelle elle a été incapable d’avorter. Pour elle, la valeur d’une vie est intouchable. Sa mère lui a volé son enfance et sa joie. Elle ne serait jamais capable de faire cela à ses bébés.

La violence est aussi une chose qui est extrêmement ardue à gérer avec quelqu’un comme Ise. Elle est incapable de parler de viol, d’inceste et de violence physique. Tout comme le sado-masochisme. Elle a un problème au niveau de la sexualité qui est probablement majeur. C’est pour cette raison qu’elle n’ouvre plus jamais les jambes sans aucune raison. Elle ne veut pas en parler à quiconque. C’est une honte pour elle. Sa honte. Son tabou. Sa blessure.

Elle a aussi une horreur de l'odeur de l'alcool et de la menthe puisqu'à ses yeux cela sent comme sa mère et ca sent le viol. Elle est incapable de voir
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyDim 21 Juin - 20:45

{ Informations personnelles }

- Histoire :
Mon psychologue dit que ça m’aiderait. Il y a quand on y pense vraiment. Des tas et des tas de choses qui selon mon psy m’aideraient à m’en sortir. Mais si moi, je n’ai pas envie de m’étaler sur des pages et des pages. De raconter, non seulement mon histoire mais aussi leur histoire. Je n’écris jamais de la prose. Je n’aime pas mon écriture en fait quand ça ne rime pas. Quand ce n’est pas comme tout ce qui s’appelle poésie. Vous savez, probablement tous ce que je veux dire hein? Que de poser des mots sur une histoire informelle et inventée de toute pièce est dix milles fois plus facile que de se conter. De raconter mon histoire, à moi, Ise Nitta, dix-huit ans tout juste qui a vieilli trop vite et qui, au début de sa "vraie" vie d’adulte dans un monde ou tout le monde est heureux, se sent complètement déconnecter. Je n’ai jamais pu pensé comme les autres. Probablement parce que je n’ai jamais eut une famille comme les autres. J’ai vécu mon enfance dans la violence, l’alcoolisme, le tabou. J’ai vécu mon début d’adolescence dans l’inceste, dans le chaos, dans la solitude et dans l’absence. J’ai aussi vécu ma fin d’adolescence dans le rêve, la passion, l’amour qui nous enivre au point de nous faire perdre le sens du mot temps. Ce temps si précieux qui s’est finalement révolu il y a deux semaines, trois jours, quatre heures, cinq minutes et six secondes. Mais je ferais probablement mieux de commencer par le début.

J’aurais bien aimé commencer cette histoire en disant que mes parents s’aimaient. Qu’ils s’aimaient à la passion. Que mon enfance avait été formidable, irréelle, quasiment magique. Mais non. Je ne peux pas dire ça. Mon psychologue m’a aussi dit de conter la vérité. Ce qui s’était réellement passé entre mon père, Hiko Nitta, designer de mode et ma mère, Ayumi Nitta, née Lee, femme de ménage, secrétaire et ancienne professeure. Ce qui s’est aussi passé entre ma mère naturelle et moi durant des années. C’est pour ça que d’écrire ne me tente pas. Je n’ai aucune envie de parler de ma mère. De son côté étrange, de son parfum à saveur d’alcool.

Ma mère n’a pas choisi d’épouser mon père. Pas plus que mon père aie choisi de l’épouser elle plutôt qu’une autre. Tout était arrangé et irréel. C’était en début septembre 1976. Ma mère avait tout juste dix-huit ans. Mais il fallait respecter la tradition au Japon. Elle n’avait pas le choix. Ma mère était le genre d’adolescente très secrète. Elle avait toujours su qu’elle épouserait Hiko et qu’elle ne pourrait absolument rien faire pour être célibataire. On l’apprendrait des années plus tard, après ma naissance. Que ma mère n’aimait pas les hommes. Elle avait tenté. Elle avait voulu. Mais tout, dans leurs âmes, la dégoûtait. Elle, ce qu’elle aimait, c’était les femmes. Celles que l’on rencontre dans un bar et avec qui on danse simplement pour oublier. Oublier un mari.

Il aura fallu quinze ans à ma mère pour accepter d’ouvrir son lit à la présence d’Hiko. En vérité, ma mère n’ouvrit même pas les jambes, ce fut Hiko qui profita du fait que ma mère était trop saoule pour réagir. Ma mère avait cette mauvaise tendance vers la bouteille quand le monde n’était pas aussi bien qu’elle le désirait. C’était un soir comme celui là. Où après avoir descendu plusieurs litres d’alcool, elle s’écroula dans les bras de mon père.

Mon père aimait ma mère. Autant qu’il m’aimera le jour ou ma mère me donna la vie. Il aimait sa limite. Je ne lui connais aucun défaut. C’est un père lumineux et extraordinaire. Le genre qui va jusqu’à se sacrifier pour sa fille. Parce qu’il l’aime simplement, un peu comme le fait son enfant.

Hiko aurait probablement été capable de résister. Combien de temps encore par contre? Son souffle était chaud ce soir là et dans son sang baignait une passion. Elle était si fragile, si facile à prendre. Il avait cédé pour la première fois de sa vie. Il s’était laissé emporter par ses sentiments comme des hommes l’avait fait avec moi, des années et des années après.

Ses mains avaient probablement longuement couru sur le corps de ma mère défaisant fébrilement le soutient gorge de ma mère. Il était probablement descendu sur son corps, l’embrassant, la câlinant. Rêvant de ses formes, ses courbes tendre et douce. Sa main avait pénétré sous la jupe, sous la petite culotte.

Ce soir là, l’amour s’était autoproclamé physique et rien qui n’existait pouvait l’empêcher d’exister. Entre les soupires de la fée. La tendresse et l’amour. Et de l’union de ses deux corps est né un être vivant, une petite boule de chair et d’os qui vivait. Qui allait vivre. Cette personne c’était moi. J’étais loin d’être prévue et loin d’être parfaite.

Je suis née en même temps que les cerisiers. Mon père aimait me dire ça. J’ai toujours aimé les grands arbres de Sakura. Ils sont beaux et semblent indestructible quand l’on est une petite fille. Pour être bien franche, de cette époque, je n’ai aucun souvenir. Que devrais-je dire? Que je me souviens de mon premier, deuxième ou troisième anniversaire de naissance? Non. En fait, de mon enfance, il ne reste rien dans ma tête. Il parait que le cerveau humain est ainsi fait. Afin de nous empêcher de souffrir, il pense nos blessures.

Je me souviens de petites images. De ma mère encore saoule qui marche en s’accrochant doucement aux meubles de la maison. Je me souviens de l’odeur de la marijuana qu’elle consommait de son allure lorsqu’elle était droguée. Je me souviens aussi de mon père et des histoires extraordinaires qu’il me racontait avant que j’aille me coucher le soir et dans ses histoires, j’étais toujours le héro.

Mon père a toujours accepté que ma mère soit différente et distante. Il aimait être un père aussi souvent que possible. Il se battait pour que ma mère se sente bien à la maison. Pour qu’elle m’aime. Il acceptait ses absences. Il ne disait rien lorsqu’elle perdait ses emplois. Il la laissait faire. Il fallait simplement qu’elle lui soit fidèle

C’est le jour où Hiko découvrit les nombreuses aventures extraconjugales de sa femme. Celles qu’elle avait avec des femmes que le monde tel que je le connaissais s’écroula.

Il était deux heures du matin, j’avais neuf ans. Je dormais dans mon lit. J’avais de l’école le lendemain. Ma mère n’était toujours pas rentrée à la maison. Elle semblait nous fuir mon père et moi. À vrai dire, mon père commençait bien à se douter que ma mère le trompait. Ca se voyait dans les yeux de ma mère et puis mon père était loin d’être un con. Il savait fort bien que ma mère ne l’avait jamais aimé pour de vrai.

Ce soir là, mon monde s’écroula. C’était la première fois que je me sentais ainsi. Que les cris de mon père et de ma mère étaient assez forts pour pouvoir me réveiller et me faire vivre à fond leur engueulade. Cette nuit-là, ma mère affirma pour une première fois son homosexualité. Cette nuit-là, elle confia à mon père combien les femmes avaient réussit à lui faire croire que la passion entre deux corps pouvait exister, combien de coucher avec lui ne lui avait jamais rien fait et comment l’alcool et la drogue l’aidait à oublier le poids de son secret.

Ce soir là, s’en fut trop d’un coup pour mon père. Ce soir là, mon père monta en furie les escaliers. Ce soir là, mon père fit ses valises. Tant qu’Ayumi lui était fidèle il n’aurait rien dire. Tant que l’amour aurait pu exister. L’aveu sec et cruel que ma mère l’avait délibérément trompé avec des femmes de surcroît avait été trop dur à prendre. Ce soir là, pour la dernière fois de ma vie, à travers la fente légère de ma porte entre ouverte, j’entrevis pour la dernière fois de ma vie mon père qui partit de la maison en hurlant : « Je demande le divorce ».

Ce qui fut le plus dur ne fut pas d’être arraché à mon père. Non. Pour l’enfant de neuf ans que j’étais c’était de comprendre pourquoi ma mère pleurait après avoir tant crier. C’était de la prendre dans mes bras et de la consoler. J’aurais aimé être plus grand pour comprendre la situation. Pour pouvoir lui dire que je lui en voulais que mon père soit parti. Mais j’ai ouvert la porte de ma chambre et j’ai serré ma mère dans mes bras. Ma mère qui sentait la menthe et le vieux gin. J’aurais voulu que le temps s’arrête et recule. Un peu comme quand on regarde un film. On arrête tout et on rembobine la cassette en espérant que la fin soit différente. Y’a plein de moments dans ma vie ou je ferais ça. Mais je sais que ça ne changera rien. Que mon père serait quand même parti. « Au moins maman, dit toi que tu m’as moi. » aurais-je du lui dire. Mais rien. Rien n’est sorti de ma bouche.

Si, avant le divorce de mes parents, j’étais une enfant qui cherchait le calme et à passer inaperçu, la honte que faisait peser sur moi, dans un Japon plein de tabou le mot divorce et homosexualité, cet acte posé par mon père ne fit que me refermer d’avantage sur moi-même. J’étais devenue un petit ange gaffeur. Le genre qui parle peu et qui récolte les secrets de tout le monde.

Mais ma mère était instable. Dans sa tête je veux dire. Et cela a eu des répercussions sur toute ma vie. L’une des lubies de ma mère est de tout fouttre en l’air, à cette époque. C’est pour cette raison que pour l’anniversaire de mes dix ans, ma mère fait nos valises. Direction les Etats-Unis. Direction la Californie.

Pour ma mère, la Californie, c’est la liberté. Le droit d’être homo si elle le désire. Mais comment simplement changé de pays aurait pu régler tous les problèmes de ma mère. Aucunement. En fait, changer de pays n’a pas améliorer l’état mental de ma mère, pour l’avoir vécu, je peux affirmer que c’était assez horrible l’impact négatif que d’arriver dans cette nouvelle culture a eut sur ma mère. La bouteille a été relâche, la marijuana aussi. Ma mère avait un nouvel attrait. Les filles très très jeunes.

Mon véritable enfer a commencé le jour ou ma mère a réalisé que j’existais. Que j’avais des formes et que j’étais vivante, belle et féminine. Je me souviendrais toujours de ses nuits comment peut-on oublier de telles situation.

J’étais couché dans mon lit, je devais avoir douze ans. Ma mère avait finalement trouvé un boulot fiable et stable aux horaires flexibles qui permettait un certain luxe comme un lycée assez bien côté mais pas trop cher et avoir une maison pas trop grande. Elle était saoule, j’avais appris à reconnaître ses soirs là, ou elle rentrait tard à la maison ses pas traînant dans l’escalier montant en s’accrochant à la rampe comme un enfant au sein de sa mère. Le plancher craquait sous son poids. Elle sentait la marijuana à plein nez. Elle est rentrée dans ma chambre et j’ai fait semblant de dormir au cas ou ce soit la colère qui soit présente dans ses yeux. Je ne savais jamais à quelle mère j’allais avoir à faire face, celle joyeuse, déprimée, la violente. Ses mains ont courut lentement sur mon corps. Je les aie senti descendre le long de ma chemise de nuit son souffle chaud dans mon cou. Elle était nue. Je pouvais sentir ses seins dans mon dos. Normalement, je me serais débattu. Mais j’avais peur. Si peur Ses mains ont cherché ma poitrine frêle et a commencé à me caresser. Comme du néant, elle a sorti deux grosses menottes. Je me suis retrouvée attachée à mon lit.

Ce soir là, pour la première fois de ma vie, ma mère m’a violé. Ce soir-là, ma mère m’a battue. Armée d’un gode, elle m’a longuement pénétré et m’a torturé. Ce jour-là, cette nuit-là, celle de mes douze ans, ma mère m’a volé ma dignité et mon enfance. Ce jour-là, ma mère m’a tué quand ses mains ont entré dans mon corps. Ce soir-là, quand ma mère m’a dit que j’étais belle et parfaite, je me suis sentie brisé. À l’instant même où ma mère a pris le contrôle de mon corps, elle a cessé d’être ma mère. Elle est devenue Ayumi. Elle est devenue Maître.

J’ai été pour ma mère un objet de désir. Et je devais tout faire pour lui plaire. Assouvir le moindre de ses besoins. J’étais une esclave à ses yeux. J’avais perdu ma vraie nature. Ce fut à cet instant que mes notes chutèrent dramatiquement. La maison était un enfer. J’avais pris habitude de guetter les sons dans l’escalier, ma mère qui montait les marches pour me torturer. Je n’en dormais plus. Je vivais dans la peur. Dans la honte. Rabaisser sans cesse par cette femme, cette démone.

Je n’étais pas assez mince, pas assez grande, pas assez tendre. J’avais peur des coups. Peur de la tendresse. Peur d’être punie. J’étais un pantin. Un objet sexuel pour ma mère. L’autorité que représentait ma mère il fallait que je la séduise pour avoir le droit d’exister. Que je devienne anorexique pour lui plaire. Que je sois parfaite. N’avoir que des A pour ne pas subir les coups et que la douleur lors des relations soit plus grande
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Ise Nitta

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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyDim 21 Juin - 20:47

- Histoire (suite et fin):
Pendant trois ans j’ai subit ce que l’on appelle l’inceste. Pendant trois ans ma mère détruisit à petit feu. Jusqu’au jour ou l’anorexie que ma mère m’avait fait développer eut raison de moi. Pendant mon cours de gym à l’école, je perdis connaissance. Je ne me souviens pas des circonstances. J’ai été transporté à l’hôpital dans un état assez pathétique. J’y ai rencontrer un psychologue. Le thérapeute qui me suit encore aujourd'hui... enfin, manière de voir.

Mes premières rencontres ont été silencieuses. Je n'ai rien dit. Rien fait. Je suis restée assise sur le fauteuil cliché à fixer l'horizon. Il était en position d'autorité sur moi ai-je compris plus tard. et j'ai eu cette tendance à reproduire ce que ma mère m'avait appris à faire. J'ouvrais les jambes pour que l'autorité me domine. C'était la manière que l'on m'avait montré à obéir. En ouvrant les jambes à l'infini pour que d,autre mains courent sur mon corps.

Et il a commencé à se douter de quelque chose. J'ai explosé un jour et j'ai confié que ma mère buvait et se droguait. J'ai confié ces jeux qu'il fallait gardé secret. J'ai confié que je lui en voulais en partie de m'avoir fait ca. C'est avec ce témoignage que l'on a mis ma mère aux arrets et qu'elle a perdu ma garde. Je me suis retrouvé sans rien ni personne dans un pays qui n'étais jamais réellement devenu le mien. Je me considérait encore comme étant une fille du Japon. C'est sur qu'une partie de moi aurais souhaité que l'on me dise que mon visa était expiré et que je devais retourner au japon. Mais non.

J'ai passé trois mois en centre avant d'être confié dans une famille d'acceuil. Les fords sont le cliché parfait de la famille que je n'avais jamais eut la chance d'avoir. Samantha Morgan est avocate. C'est une femme intelligente gentille et respectueuse qui adore les enfants. Elle aurait aimé en avoir plusieurs mais elle s'est contenté de deux enfant, Alexender et Samuel. Elle a marié Thomas Ford lorsqu'elle était à l'université avant d'apprendre qu'il était en administration et qu'il allait hérité au décès de son père des entreprises Fords, oui! celle que vous pensez! Celles qui construisent des voitures.

Je me suis toute suite senti à ma place. Samuel avait treize ans et Alex avait mon seize, un an de plus que moi. J'ai appris à les connaitres. Pour la première fois de ma vie, je me trouvait dans une famille normal. Samuel avait quelque chose d'étrange un peu féminin, tout le contraire d'Alex qui jouait au football. J'ai redécouvert la musique avec cette famille. Il y avait dans cette petite famille unie quelque chose de rassurant qui m'aidait à ne pas sombrer et à ne pas trop perdre la boule.

Je suis même tombé en amour pendant cette période. J'avais seize ans quand j'ai officiellement commencer à sortir avec Alexander. Il était ma stabilité et ses parents trouvaient interessant qu'il aie une petite amie aussi formidable que moi. Une nuit, il est venue me rejoindre dans ma chambre et il m'a longuement serré dans ses bras. Nous formions un couple depuis environ six mois. Je lui avait ouvert ma tête et mon coeur. J'étais une agace, le genre de fille qui veut séduire pour se sentir sécure dans la vie. Il était là pour moi. Je l'ai laisser faire jusqu'à ce que ses mains descend jusqu'à mon entre-jambe pour venir se glissé contre mon sexe.

À ce moment-là, j'ai hurlé. Hurler à m'en époumonner. "Lâche moi!". J'avait été incapable de me rendre jusqu'au bout avec quiconque. Je promettais qu'un jour. Il m'a fait taire: "C'est pas grave... j'attendrais que tu soit prête... moi je t'aime. Plus gros que le ciel mon amour. je ne te ferais jamais mal." Il m'a longuement embrassé en me promettant ciel et terre. Je me suis calmer.

Le temps a passé lentement et j'ai fini par lui faire confiance. Il n'y avait pas de haut et de bas dans ma relation avec Alexender. J'avais impression d'être normale pour la première fois de ma vie. J'aimais. Quand ca a fait deux trois ans que nous étions en couple, il m'a proposé en mariage. J'allais avoir dix-huit. Il était persuadé de son choix. Sa vie, il voulait la passé avec moi. J'ai accepter parce que quand il était à côté de moi j'oubliais les mains baladeuses de ma mère. J'oubliais qu'elle me faisait mal. J'oubliais tout.

Et puis il y a eu ce test positif, il y a deux mois. J'étais enceinte. Je le suis toujours. Je l'ai annoncé à Alexander qui était archi-heureux. J'aillait sortir un album. J'avais peur. J'étais paniqué mais il m'a dit de ne pas m'inquiété que tout irais bien. Que le soleil serait toujours là pour moi. Ensemble, on a pris le choix de garder le bébé. Nous allions nous marié quand notre enfant serait agé de six mois. Ce serait superbe.

Mais il y a eut cet accident de voiture qui a tout chamboulé. Il revenait d'un entrainement tard le soir. Je l'attendais à la maison. Il n'est jamais rentré à la maison. C'était une semaine après que notre décision aie été prise, le jour de mes dix-huit ans. Alexander a été frappé par un conducteur ivre. Il a survécu. Enfin, manière de parler. Mon amant a subit une comossion cérébrale et il était plongé dans un profond coma. J'ai attendu un mois à l'hopital à regarder son corps s'en remettre mais son esprit rester absent. Avec Samuel, Samantha et Thomas, j'ai pris la décision la plus dure de ma vie. J'ai choisit de "débrancher" Alex.

"Il n'a pas mérité de mourir. Alexnder était sobre, comme moi... pour moi d'ailleurs. Il n'a jamais bu une goute d'alcool. Il n'a jamais fumé un joint. Il rentrait à l'heure pour le souper. Mais il est mort à cause d'un homme dont la fin de la vie va se passé en prison, du moins, je me permet de l'espérer. Il était pour tout le monde dans la salle, un ami, un frère, un fils... Pour moi, il était encore plus... Il étais mon fiancé, mon amant et le père de mon enfant." ai-je dit aux funérailles. Ce soir-là, envers et contre tous, j'ai fait ma valise. Je suis partie. Direction le japon.

Je veux retrouver mon père et lui expliqué qu'il n'aurait jamais du quitter ma mère. Je veux lui dire qu'il va être grand père. Je veux vivre simplement, sans être une fille idiote et avoir une famille qui existe et qui s'aime. Un jour peut-être que les Ford viendront me rejoindre. Mais je n'appartiens pas à leur famille! Je suis seule dans mon monde. Une artiste, la tête dans les nuages. Un ange brisé, une petite cendrillon qui rêve de rencontrer l'amour. Une petite fée qui coud dessine et peint pour le plaisir de le faire!
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Soka Nemura
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyDim 21 Juin - 21:17

Rien a faire...2 ans que je connais ton niveau et je suis toujours aussi impressionné !
Validé !
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyDim 21 Juin - 22:26

Re Bienvenue =D !
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyLun 22 Juin - 0:47

Je peux faire pire... tu veux une preuve? Dit OUIIII!

TE PLAIT!!!!

DIT OUIIII!
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyLun 22 Juin - 13:44

Citation :
"Elle a aussi une horreur de l'odeur de l'alcool et de la menthe puisqu'à ses yeux cela sent comme sa mère et ca sent le viol. Elle est incapable de voir "

Cette phrase est terminée ou il manque quelque chose?

Dit non, dit non XD
(Je viens de finir le second post ^^" je continu)

EDIT

J'ai tout lu et, belle histoire comme toujours.
Toutefois je me demande, dans cette histoire tu dis que le père d'Ise l'aimait énormément. Pourquoi ne pas en avoir demandé la garde, alors?
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Ise Nitta

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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyLun 22 Juin - 16:00

la phrase n'est pas terminée... c'est une erreure de copier collé probablement...

Lorsque l'enfant est mineur c'est extrèmement dur d'avoir la garde partagé ou la garde pour le père. On dit que l'enfant a besoin de sa mère...
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Daïa Ao

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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyLun 22 Juin - 19:16

ça je veux bien admettre. Mais la parole de l'enfant a aussi une certaine importance, si mineure soit-elle. Et puis si tu peux prouver (ce qui aurait certainement pas été très compliqué) que la mère avait des soucis avec l'alcool et la drogue, ça aurait du passé très vite.

Enfin, je chipote pour rien, désolé ^^"
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MessageSujet: Re: Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite]   Ise Nitta:Simple Scream [NC-16: Sexualité explicite] EmptyLun 22 Juin - 19:23

Michant Daia! MICHANT!!!

*tape Daia avec l'air d'un enfant de trois ans... fond en larme*

M'excuse gentil dada!
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